Poggio Berni (Laura)

J’habite à Poggio Berni, un petit village à la campagne près de Rimini. Il se trouve sur une colline et s’étend entre deux fleuves : le Marecchia et l’Uso. Ce que j’aime de Poggio Berni c’est la tranquillité et la gaieté des personnes. Ce sont les champs où on cultive les fraises et les pêches, les parcs avec de jeux pour les enfants et les magasins qui vendent un peu de tout. Ce que j’aime ce ne sont pas les maisons mais les terrains pour jouer au football, les églises où on peut prier et écouter le chœur chanter.  Ce sont les palais de quelques seigneurs du passé où il y a des restaurants qu’invitent à entrer avec leurs parfums de viande grillée et où on peut entendre les cris de joie de ceux qui célèbre un anniversaire. Ce sont les oiseaux et le coq, l’odeur du café et de la pluie quand on se réveille. Ce sont les cris des marchands  chez qui  les mères achètent les fruits et les légumes après avoir accompagné leurs enfants à l’école le matin. Ce sont les odeurs de ceux  qui préparent les repas , arrosent les fleurs et coupent l’herbe. Ce que j’aime de Poggio Berni ce sont les clacksons des voitures et les cris  de félicité des enfants qui sortent de l’école à l’heure du repas. Ce sont les enfants qui font leurs devoirs et regardent la télé, les personnes âgées qui promènent le chien et jouent aux cartes au bar et les paysans qui travaillent dans les champs avec leur tracteur. Ce sont les personnes à cheval dans le rues et le soir silencieux quand on peut entendre seulement les voix de ceux  qui font une promenade avec un ami et les chats qui miaulent. Ce sont les cloches et les bavardages des cyclistes qui font leur course du dimanche. C’est la musique pendant l’été de ceux  qui font une fête et les grillons qui chantent. Ce sont aussi les couleurs comme le vert des arbres et des champs, le bleu du ciel quand j’ouvre la fenêtre le matin et le rouge des fruits d’été comme les cerises.