Vin, bière, vodka, porto, rhum, pastis, champagne, alcools de luxe, ’piquette’, etc. Toutes les boissons alcooliques contiennent la même molécule appelée éthanol ou, en langage courant, alcool pur. L’éthanol provient de la fermentation de fruits, de grains ou de tubercules. La fabrication de certaines boissons alcooliques comporte une étape de distillation, qui permet d’augmenter la concentration en alcool. Les boissons alcooliques se différencient par leur goût et leur concentration en éthanol, mais toutes sont toxiques et peuvent conduire à l’ivresse.
Que signifie l’indication en degré (°) ou en pourcentage (%) qui figure sur les bouteilles d’alcool ?
Cette indication est le titre volumique (ou pourcentage volumique) d’alcool : concrètement, si une boisson affiche un titre égal à 35°, cela signifie que 100 ml de cette boisson contiennent 35 ml d’alcool pur. Plus le titre est élevé, plus la boisson est concentrée en alcool pur.
Un litre d’alcool pur pèse environ 800 grammes. À titre de comparaison, un litre d’eau pèse 1 kg : l’alcool est donc moins dense que l’eau.
Un verre de vodka (3cl) à 40° contient-il plus d’alcool pur qu’un demi de bière (25cl) à 5º ?
Non. Bien sûr, certaines boissons sont plus concentrées en alcool pur que d’autres, mais elles sont aussi servies en plus petites doses. En réalité, une bière , un verre de whisky, un verre de vin, une bouteille de premix ou encore un pastis tels qu’on les sert dans les bars, au restaurant ou en boîte de nuit contiennent tous approximativement la même quantité d’alcool pur : environ 10 grammes. C’est ce qu’on appelle un verre standard ou encore une unité alcool. En revanche, chez soi ou chez des amis, les verres sont généralement plus remplis et contiennent donc une dose d’alcool pur plus importante.
Attention ! Certaines bières, plus fortement dosées, peuvent contenir deux fois plus d’alcool que les bières classiques pour la même quantité de boisson. De plus ces bières sont souvent conditionnées dans de grandes canettes pouvant aller jusqu’à 50 cl. Sachez qu’une canette de 50 cl de bière à 8° équivaut à 3 demis (25cl) de bière à 5°, soit 3 verres standard d’alcool.
Comment l’alcool agit-il sur l’organisme ?
Quel est le chemin de l’alcool dans le corps ?
Après consommation, l’alcool n’est pas transformé dans le tube digestif ; il est absorbé tel quel au niveau de l’intestin grêle et passe dans le sang. En quelques minutes, il est transporté dans tout l’organisme, notamment au niveau du cerveau, sur lequel il exerce différents effets.
L’alcool est éliminé essentiellement par le foie (95 %). Les 5 % restants sont éliminés par les reins (urine), la peau (sueur), les poumons (air expiré) et la salive. Le passage par la respiration permet d’évaluer, en mesurant la concentration d’alcool dans l’air expiré au moyen d’un éthylotest, le taux d’alcool dans le sang (ou alcoolémie). Ce dernier reflète la quantité d’alcool présente dans l’ensemble de l’organisme.
Qu’est-ce que l’alcoolémie ?
L’alcoolémie est le taux (ou concentration) d’alcool dans le sang. Elle s’exprime en grammes d’alcool pur par litre de sang (g/l).
L’alcoolémie varie selon la quantité d’alcool consommée, mais aussi la corpulence et le sexe de la personne, la vitesse de consommation et le fait d’avoir mangé ou non. De plus, chaque individu réagit différemment selon son état de santé, de fatigue, son humeur, etc.
De façon approximative, un verre standard d’alcool fait augmenter l’alcoolémie de 0,20 à 0,25 g/l environ.
Que se passe-t-il quand on boit de l’alcool ?
L’alcool est un produit psycho actif, c’est-à-dire qu’il agit sur le fonctionnement du cerveau : il modifie la conscience et les perceptions, et donc aussi les comportements. Les effets au moment où l’on consomme dépendent surtout de l’alcoolémie.
Consommé à faibles doses, l’alcool désinhibe ; il procure une sensation de détente, de plaisir, d’euphorie, voire d’excitation. Les réflexes commencent à diminuer.
Consommé à plus fortes doses, l’alcool provoque l’ivresse : mauvaise coordination des mouvements, élocution troublée, diminution des réflexes et de la vigilance, somnolence, etc. Des pertes de mémoire, délires et hallucinations peuvent survenir.
A très fortes doses, la somnolence peut aller jusqu’au coma éthylique.
Au delà de ses effets immédiats, l’alcool a des conséquences sur la santé à long terme.
Les risques immédiats
Quels sont les dangers de l’alcool au volant ?
L’alcool augmente le temps de réaction. Il diminue les réflexes, la vigilance et la résistance à la fatigue. Il perturbe la vision, l’estimation des distances et la coordination des mouvements. De plus, son effet désinhibant amène à sous-évaluer le danger et à prendre des risques : « oubli » de boucler sa ceinture ou de porter un casque, vitesse excessive, etc.
C’est pourquoi il est dangereux de conduire un véhicule, qu’il s’agisse d’une voiture ou d’un 2-roues, lorsqu’on a consommé de l’alcool.
Le risque d’être responsable d’un accident mortel est multiplié par 8 en cas de consommation d’alcool. Ce risque augmente très rapidement en fonction du taux d’alcool dans le sang : il est multiplié par 6 pour un taux compris entre 0,5 et 0,8 g/l, et par 40 pour un taux supérieur à 2 g/l.
En France, il est interdit de conduire avec une alcoolémie supérieure ou égale à 0,5g/l. Cependant, les effets de l’alcool commencent à apparaître dès le premier verre, même si l’on ne s’en rend pas compte. Le plus prudent est donc de ne pas boire du tout d’alcool lorsqu’on doit conduire.
L’alcool rend-il violent ?
L’alcool ne rend pas forcément violent. En revanche, par son action sur le fonctionnement du cerveau, l’alcool peut modifier la façon dont on réagit dans une situation donnée. Sous l’effet de l’alcool, la personne va se focaliser sur la provocation qu’elle pense avoir subie, sur l’irritation qu’elle ressent au moment présent. A l’inverse, elle pensera moins aux conséquences futures de ses actes. Elle aura donc tendance à « perdre son sang-froid » plus rapidement, à réagir de façon plus extrême, plus agressive face à la situation, en comparaison de ce qu’elle aurait fait si elle n’avait pas consommé d’alcool.
Ceci permet d’expliquer en partie pourquoi de nombreuses agressions (injures, coups, agressions sexuelles et crimes) sont commises sous l’influence de l’alcool.
L’effet désinhibant de l’alcool peut aussi conduire une personne qui a bu à avoir une attitude provocante et ainsi à être elle-même agressée. De plus, lorsqu’on a bu, on devient plus vulnérable aux agressions car on est moins capable de se défendre.
Lorsqu’une personne est jugée pour infraction, les sanctions seront plus graves si elle était ivre au moment des faits : l’alcool est une circonstance aggravante.
Qu’est-ce qu’un coma éthylique ?
Boire beaucoup d’alcool en peu de temps a des effets directs sur l’organisme. Ces effets sont d’autant plus graves que la quantité d’alcool consommée est importante.
De fortes doses conduisent à l’ivresse ; celle-ci peut s’accompagner de nausées, de vomissements, mais aussi de pertes de mémoire, de délires, etc. L’alcool provoque également un état de somnolence.
À très fortes doses, la somnolence évolue en perte de connaissance : c’est le coma éthylique. La tension artérielle est basse, la fréquence respiratoire et la température corporelle diminuent. Le coma éthylique nécessite une hospitalisation en urgence et il peut, faute de soins, provoquer la mort.
Les conséquences sur la santé à long terme
Une consommation régulière et excessive d’alcool (plus de 3 verres standard par jour en moyenne pour les hommes, plus de 2 verres standard par jour en moyenne pour les femmes) augmente le risque de développer de nombreuses maladies : certains cancers, maladies cardiovasculaires et digestives (cirrhose du foie par exemple), maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression).
Qu’est ce qu’une cirrhose ?
La cirrhose du foie est une maladie chronique et irréversible. Il s’agit d’une destruction progressive des cellules du foie, qui sont remplacées par un tissu fibreux. Le foie ne fonctionne plus correctement et son aspect se modifie : il devient dur et bosselé et peut changer de taille. L’une des complications de la cirrhose est le cancer du foie.
L’alcool est la cause principale de cirrhose du foie (les hépatites B et C peuvent également être à l’origine d’une cirrhose). Contrairement à la croyance populaire, la cirrhose ne touche pas que les personnes alcooliques mais concerne potentiellement l’ensemble des personnes qui ont une consommation régulière et excessive d’alcool.
C’est une maladie pour laquelle on ne dispose pas de traitement. Cependant l’arrêt complet de la consommation d’alcool améliore grandement les chances de survie.
L’alcool peut- il provoquer des cancers ?
La consommation de boissons alcooliques augmente le risque de certains cancers et ce, à partir d’un verre d’alcool consommé par jour. Autrement dit, même une consommation faible ou « modérée » d’alcool augmente le risque de certains cancers.
Les organes concernés sont :
• les voies aérodigestives supérieures, c’est-à-dire la bouche et la gorge (larynx, pharynx),
• l’œsophage,
• le foie,
• le côlon et le rectum,
• le sein, chez la femme.
Pour les cancers des voies aérodigestives supérieures, fumer aggrave les effets de l’alcool et inversement.
C’est l’alcool pur (ou éthanol) contenu dans les boissons qui est cancérigène. Le lien entre alcool et cancers est donc valable pour toutes les boissons alcooliques, qu’il s’agisse de vin, de bière ou d’alcool fort (spiritueux).
Quels sont les risques de maladies cardiovasculaires liés à l’alcool ?
Au delà de 3 verres par jour, la consommation d’alcool élève la pression artérielle et augmente le risque d’hypertension. Elle augmente également le risque d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) « hémorragiques » (causés par la rupture d’un vaisseau sanguin et un épanchement de sang dans le cerveau), d’AVC « ischémiques » et d’infarctus du myocarde, deux types d’événements qui se produisent lorsqu’un caillot interrompt la circulation sanguine.
De plus, une consommation aiguë d’alcool, c’est-à-dire le fait de boire de grandes quantités d’alcool en une même occasion, peut entraîner des troubles du rythme cardiaque et augmente le risque de mort subite.
Les effets de la consommation d’alcool à plus faibles doses sur le système cardiovasculaire restent débattus.
L’alcool a-t-il, à long terme, des effets sur le cerveau ?
Une consommation régulière et excessive d’alcool peut être responsable de troubles de l’attention, de la concentration, de la mémoire, des capacités d’abstraction.
Le syndrome de Korsakoff est une complication encore plus grave de l’intoxication alcoolique : cette maladie du cerveau se caractérise par une altération massive irréversible de la mémoire, des troubles de l’humeur, une tendance à la fabulation, etc.
Les effets toxiques de l’alcool sur le cerveau peuvent être mis en évidence par imagerie médicale : en particulier, une diminution de la matière grise a été observée chez des personnes alcoolodépendantes. Plus la consommation d’alcool a commencé à un âge précoce, plus l’altération de la matière grise est importante.
Y a-t-il un lien entre la consommation d’alcool et la santé mentale ?
Une consommation excessive d’alcool est souvent associée à des troubles psychiques (dépression et anxiété notamment). Ces derniers sont-ils la cause ou la conséquence de l’alcoolisation ? Dans certains cas, une personne en souffrance psychique peut avoir tendance à boire pour lutter contre ses troubles, et développer ainsi une consommation excessive d’alcool.
Cependant, c’est l’inverse qui est observé la plupart du temps : l’anxiété et la dépression apparaissent comme conséquences de la consommation excessive d’alcool. D’ailleurs, chez les alcoolodépendants qui sont atteints de ces troubles, ceux-ci disparaissent bien souvent après l’arrêt de la consommation d’alcool.
De plus, même si l’alcool aide à s’endormir, il nuit à la qualité du sommeil et peut provoquer des insomnies.
La consommation d’alcool a-t-elle des conséquences sur la vie de tous les jours ?
En raison de ses effets négatifs sur le comportement et le caractère, une consommation excessive d’alcool peut aussi avoir des retentissements sur la vie sociale et professionnelle : diminution de l’efficacité au travail, tensions dans les relations avec le conjoint, la famille ou les collègues, instabilité professionnelle, etc.
Les conséquences sanitaires et sociales de la consommation d’alcool
Combien y a-t-il de décès dus à l’alcool ?
On estime que chaque année, en France, 37 000 décès sont liés à l’alcool (source : OFDT), parmi lesquels :
• 10 000 décès par cancer,
• 6 900 décès par cirrhose,
• 3 000 décès par psychose et dépendance alcoolique,
• 2 200 décès par accidents de la route.
Au total, l’alcool est à l’origine de 14 % des décès chez les hommes et de 3 % chez les femmes (source : C. Hill)
Combien de personnes ont recours aux soins à cause de leur consommation d’alcool ?
Si l’on prend en compte l’ensemble des maladies provoquées par la consommation d’alcool (cancers, cirrhose, traumatismes dus à des accidents de la route ou domestiques survenus sous l’effet de l’alcool, etc.), on estime que 1,3 million de séjours hospitaliers étaient liés à l’alcool en 2003 (source : OFDT).
Par ailleurs, en 2007, plus de 130 000 personnes ont consulté dans des centres spécialisés pour la prise en charge d’un problème de consommation d’alcool (consommation nocive ou dépendance) (source : OFDT).
Combien d’infractions sont commises sous l’effet de l’alcool ?
De nombreuses infractions à la loi sont commises sous l’influence de l’alcool. Pour la conduite en état alcoolique et l’ivresse sur la voie publique, l’alcool est explicitement en cause. Mais il est également présent dans d’autres infractions, en particulier les agressions (coups, agressions sexuelles et crimes). Cependant, on ne dispose de données statistiques exhaustives que pour les deux premiers types d’infractions.
En 2008, on a dénombré 100 621 contraventions pour conduite en état alcoolique (alcoolémie supérieure à la limite légale mais inférieure à 0,8 g/l) et 176 443 délits (alcoolémie supérieure à 0,8 g/l, refus de contrôle d’alcoolémie ou ivresse manifeste) (source : ministère de l’Intérieur).
En 2008, 83 705 personnes ont été interpellées pour ivresse publique et manifeste, c’est-à-dire conduites au poste de police le plus proche après avoir été trouvées ivres dans un lieu public (source : OFDT).
Capitaine de soirée ?
L’idée du «conducteur désigné», ou «Capitaine de soirée» est née en 1997.
Le principe ? Désigner parmi le groupe d’amis, lors de toute soirée, celui qui s’engage à ne pas consommer d’alcool et à reconduire ses passagers en toute sécurité.
Le Capitaine de soirée, c'est pas un héros mais juste quelqu’un de responsable. Quand c'est à lui de raccompagner les autres, il ne boit pas : «Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas». A chacun son tour !
Les opérations «Capitaine de soirée» ont gagné du terrain en France. Elles ont investi de plus en plus de départements, de discothèques puis de soirées étudiantes. Au total, près de 10 000 soirées ont été organisées à ce jour par les Comités départementaux de La Prévention Routière et leurs partenaires locaux.
Comment devenir Capitaine de soirée ?
Pour chaque sortie organisée avec vos amis, désignez ensemble avant de prendre le volant celui qui ne boira pas d’alcool et ramènera tout le monde.
Comment organiser une soirée Capitaine de soirée ?
Vous aussi, vous pouvez lutter contre les dangers de l’alcool au volant en organisant des soirées «Capitaine de soirée».
Pour organiser une soirée «Capitaine de soirée» : c’est très simple ! Contactez les comités départementaux de La Prévention Routière, ils vous guideront et vous soutiendront dans votre démarche.
Les comités départementaux de l’association Prévention Routière mènent également des opérations de sensibilisation dans les bars et dans les centre-villes en fin d’après-midi, où les bénévoles distribuent des éthylotests et des cartes à gratter pour inciter les jeunes à désigner leur capitaine de soirée.
L’association met également gratuitement à disposition des organisateurs de soirées étudiantes du matériel de prévention via ses comités départementaux .
Comment ça marche ?
A l’entrée de la discothèque, les bénévoles de l’association accueillent les clients et les incitent, si ce n’est déjà fait, à choisir leur capitaine de soirée. Ils les identifient avec un bracelet qui permet au capitaine de bénéficier d’une entrée gratuite pour la fois suivante et de deux boissons non alcoolisées.
En fin de soirée, les bénévoles s’assurent que les capitaines ont bien respecté leur engagement en les faisant souffler dans un éthylotest avant de leur restituer leur permis de conduire (ou leurs clés).
Pour être capitaine de soirée, il faut :
• être titulaire du permis de conduire
• ne pas avoir consommé d’alcool
… et dans l’idéal : avoir été désigné en groupe, avant de démarrer la soirée.
(d’après le site Association Prévention Routière )
Pourquoi boire ?....et si on était tous "Capitaines de soirée" ?
La grande médecine à base de plantes du Dr imoloa est le remède parfait pour le virus du VIH, j'ai été diagnostiqué du VIH pendant 8 ans, et chaque jour je recherche toujours des recherches pour trouver le moyen parfait de se débarrasser de cette terrible maladie parce que je sais toujours que nous avons besoin parce que notre santé est sur terre. Ainsi, lors de ma recherche sur Internet, j'ai vu plusieurs témoignages sur la façon dont le Dr imoloa peut guérir le VIH avec de puissants médicaments à base de plantes. J'ai décidé de contacter cet homme, je l'ai contacté pour les médicaments à base de plantes que j'ai reçus via le service de messagerie DHL. Et il m'a guidé comment. Je lui ai demandé une solution pour prendre des herbes médicinales pendant deux semaines. Et puis il m'a demandé d'aller vérifier ce que je faisais. Regardez-moi (VIH NÉGATIF). Dieu merci, le Dr Imoloa a utilisé un puissant remède à base de plantes pour me guérir. il a également un remède contre des maladies telles que la maladie de Parkison, le cancer du vagin, l'épilepsie, les troubles anxieux, les maladies auto-immunes, les maux de dos, les entorses, les troubles bipolaires, les tumeurs cérébrales, les tumeurs malignes, le bruxisme, la boulimie, la discopathie cervicale, les maladies cardiovasculaires, les maladies cardiovasculaires, entorses, trouble bipolaire, tumeurs cérébrales, malignes, bruxisme, boulimie, maladie du disque cervical, maladie cardiovasculaire, maladie cardiovasculaire, entorses, trouble bipolaire, tumeurs cérébrales, malignes, bruxisme, boulimie, maladie du disque cervical, maladie cardiovasculaire, maladies respiratoires chroniques, mental et troubles du comportement, fibrose kystique, hypertension, diabète, asthme, arthrite auto-immune. Maladie rénale chronique, arthrite, maux de dos, impuissance, spectre d'alcool fêta, troubles dysthymiques, eczéma, cancer de la peau, tuberculose, syndrome de fatigue chronique, constipation, maladie inflammatoire de l'intestin, cancer des os, cancer du poumon, plaies buccales, cancer de la bouche, douleurs corporelles, fièvre, hépatite ABC, syphilis, diarrhée, maladie de Huntington, acné dorsale, insuffisance rénale chronique, maladie d'Addison, maladie chronique, maladie de Crohn, fibrose kystique, fibromyalgie, maladie intestinale inflammatoire, mycose des ongles fongique, paralysie, maladie de Celia, lymphome, dépression majeure , Mélanome malin, manie, mélorhéostose, maladie de Ménière, mucopolysaccharidose, sclérose en plaques, dystrophie musculaire, polyarthrite rhumatoïde, maladie d'Alzheimer email- drimolaherbalmademedicine@gmail.com / ou {whatssapp ..... + 2347081986098}
RépondreSupprimerMerci au Dr Iyabiye qui m'a aidé à guérir de l'HÉPATITE B et de la CIRRHOSE DU FOIE. J'étais terriblement malade, mon estomac était gonflé de douleurs aux côtes. J'ai été emmené à l'hôpital pour un traitement et on m'a diagnostiqué une hépatite B chronique et une cirrhose du foie. Bien que j'ai été traité pour réduire la charge virale, mais le médecin a dit que la maladie était incurable. Mon amie m'a parlé de ce médecin lorsqu'elle est venue me voir, et je l'ai contacté et j'ai été guéri/bien après avoir utilisé ses médicaments. J'ai fait 3 tests et tous se sont révélés négatifs, ce qui signifie que je suis guéri. Vous pouvez contacter le Dr Iyabiye pour obtenir de l'aide si vous êtes intéressé par : iyabiyehealinghome@gmail.com / appel : +234-815-857-7300.
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